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La commune

L'entité actuelle résulte de la fusion, au 1er janvier 1977, des anciennes communes de Beyne-Heusay, Bellaire et Queue-du-Bois et par l'adjonction de Moulins s/Fléron qui faisait jusque-là partie de la commune de Fléron.

Sa superficie : 7,3 kilomètres carrés.
Sa population : 12.024 habitants au 01.01.2024.


Evolution de la population :

11.326 habitants au 01.01.1990,
11.397 habitants au 01.01.1995,
11.661 habitants au 01.01.2000,
11.734 habitants au 01.01.2004,
11.661 habitants au 01.01.2005,
11.711 habitants au 01.01.2006,
11.739 habitants au 01.01.2007,
11.857 habitants au 01.01.2008,
11.921 habitants au 01.01.2009,
11.937 habitants au 01.01.2010,
12.020 habitants au 01.01.2011,
11.995 habitants au 01.01.2012,

12.004 habitants au 01.01.2013,
11.966 habitants au 01.01.2014,
12.051 habitants au 01.01.2015,
12.096 habitants au 01.01.2016,
12.011 habitants au 01.01.2017,
12.008 habitants au 01.01.2018,
11.929 habitants au 01.01.2019,
11.891 habitants au 01.01.2020,
11.956 habitants au 01.01.2021,
11.948 habitants au 01.01.2022,
11.996 habitants au 01.01.2023,
12.024 habitants au 01.01.2024

 

Accéder à Beyne-Heusay :

La commune se situe sur la N3 entre Liège et Fléron.
En voiture, au départ de Liège, rejoindre la N3, monter le Thier de Robermont  jusqu'à Beyne-Heusay ; au départ de Verviers, rejoindre la N3 et traverser Soumagne, puis Fléron jusqu'à Beyne-Heusay.

Les accès autoroutiers

  • venant de Bruxelles ou de Namur, après l'échangeur de Loncin, prendre le ring en direction de Luxembourg (liaison E25/E40 tunnel de Cointe) et sortir à Belle Ile /Grivegnée. Rejoindre Grivegnée et monter jusqu'à la N3.
  • venant de Luxembourg, sortir à Belle Ile / Grivegnée et rejoindre la N3.
  • Venant de Aachen, sortir à Fléron/Soumagne et descendre la N3.

En bus :

Les bus, 10 et 138 du TEC vous amèneront à Beyne-Heusay.

Accéder à Bellaire et à Queue-du-Bois :

En voiture, au départ de Liège, prendre la direction de Jupille et suivre la direction de Fléron-Bellaire. Au départ de Fléron, au rond-point du centre commercial prendre la direction de Jupille / Queue-du-Bois.

Les accès autoroutiers : 

  • Venant de Bruxelles, Namur où de Luxembourg, rejoindre la E40 en direction de Aachen. Sortir à Blegny / Barchon, prendre à gauche et rejoindre la N3. Descendre la nationale jusqu'à Fléron et suivre la  direction de Jupille/Queue-du-Bois.
  • Venant d'Aachen, sortir à Blegny /Barchon, enjamber l'autoroute et prendre à gauche pour rejoindre la N3.

En bus :

  • les bus 67 et 68 du TEC vous amèneront à Bellaire et à Queue-du-Bois.
  • le bus 69 vous amènera à Moulins-sous-Fléron.

Son réseau routier :

48 kilomètres répartis comme suit :

  • voirie communale : 45 kms
  • voirie régionale : 3 kms (Grand'Route)

Enseignement :

1.300 élèves répartis dans les écoles fondamentales communales et libres ainsi que dans une école secondaire.


Commerce :

Plus ou moins 200 commerçants, artisans et indépendants.

 


Un peu d'histoire - Beyne-Heusay

La commune de Beyne-Heusay, installée sur les premières marches du plateau de Herve, s'est constituée, au fil des siècles, par le regroupement de divers villages et hameaux. La création du premier de ceux-ci, celui de Beyne, remonte à 1321, dans ce qui était alors la Principauté de Liège.

Pendant de très nombreuses années, les hameaux de Beyne, de Heusay et de la Neuville constituèrent des entités distinctes, ayant chacune leur "bourguemaître". Leur réunion ne fut d'ailleurs réalisée qu'en 1796, sous le régime français. Le premier maire de la communauté unifiée et intégrée dans le département de l'Ourthe, fut Monsieur F. BELLEFLAMME, en 1800.

Plus près de nous, en 1977, l'entité de Beyne-Heusay s'est agrandie en s'associant avec les anciennes communes de Bellaire et Queue-du-Bois, d'une part, avec Moulins-sous-Fléron, nécessaire trait d'union entre les deux versants, d'autre part.

 L'histoire de l'ensemble de la commune est étroitement associée à celle de l'exploitation des mines de charbon. En effet, dès le XIIIème siècle, des documents mentionnent la présence de gisements de houille dans le sous-sol de la région et à partir du XIXème siècle, les charbonnages prirent une telle importance qu'ils façonnèrent, à leur image, la population et l'habitat de la commune. Ce n'est que dans le courant des années 1960 que les différents sièges d'exploitation  - Werister, Homvent, les Quatre Jean - fermèrent leurs portes, marquant ainsi la fin d'une époque en même temps que le début d'une autre ère.


 

Blason Beyne-Heusay

Les armoiries officielles de la commune

Ces armoiries ont été concédées, à la Commune, par un Arrêté du Gouvernement de la Communauté française du 15/02/2000.

Le blason est divisé en quatre parties, appelées "quartiers" .

  • Les quartiers supérieur gauche et inférieur, droit représentent les armes de la famille de Villenfagne, dont un membre fut le dernier seigneur de Beyne, avant la révolution française.
  • Les quartiers supérieur droit et inférieur gauche représentent les armes de la famille de Grady, à laquelle a appartenu le dernier seigneur de Bellaire, Queue-du-Bois, Waoury et Parfondvaux avant la révolution française.

Outre sa beauté et sa sobriété, il est ainsi fédérateur des deux versants qui, avec Moulins-sous-Fléron pour trait d'union, constituent l'actuelle commune de Beyne-Heusay. 

L'héraldique a son langage propre et l'écu se lit comme suit :

ECARTELE : Aux un et quatre, d'argent à la bande coticéé de sable, chargée de trois coquilles d'or, qui est de Villenfagne. Aux deux et trois, d'argent au lion de gueules, armé et lampassé de même, chargé en coeur d'un croissant montantd'or, qui est de Grady.
 


roue de charette

Que deviennent la roue de charette et les feuilles de houx?

Pour rappel, l'emblème utilisé jusqu'à présent - et qui continuera à l'être au titre de logo - est constitué par :

  • la roue de charrette , pour Beyne ( du wallon " beine ", désignant le cerclage métallique des roues en bois ). La tradition rapporte qu'à cette époque ( première moitié du quatorzième siècle), une dame noble de Forêt se rendait chaque dimanche matin, en voiture à Jupille, où elle entendait la messe. Un jour, à mi-chemin, la " benne " de la roue se brisa et la dame ne put aller plus loin. Elle vit, dans cet accident, un avertissement de la divinité et, pour la remercier de na pas avoir été blessée, elle fit bâtir une chapelle dans ce lieu qu'on appela...du nom de l'objet rompu ",
  • les feuilles de houx, pour Heusay, endroit planté de houx.